Je suis un phoenix.
J’ai brûlé.
J’ai pondu.
Et je suis encore un phoenix.
Ces cons de dragons me jalousent, eux qui crèvent juste à cause de paysans qui se font passer pour des chevaliers avec des machins magiques.
Je joue à la bourse, parce que ça renaît aussi, comme moi. Les dragons eux, essaient juste de forniquer dans la plus grande partouse possible.
Mon seul problème étant que je ne crains rien : je suis mythologique alors je n’ai rien à craindre. Je m’auto-génère tous les mille ans, c’est chouette mais en fait ça ressemble à une longue masturbation.
Il m’a dit en baissant son froc qu’il n’était pas pd mais qu’il trouvait ça marrant juste pour essayer. Et à poil dans ma cuisine parfaite aux inox redondants c’est vrai qu’il avait l’air marrant.
Joli cul musclé de paysan sans glaive qui vient de sortir de la boue matricielle, le sable mouvant des cochons.
Et son machin magique entre les jambes.
Il me suçait avec application alors que je lui becquetais l’âme.
Et puis quand j’ai allumé la télé pour voir la bourse il m’a dit qu’il aimerait un truc en plus, l’imbécile.
“J’aimerais que tu me prennes comme une bête tu vois ?”
Je lui ai bouffé l’âme et le matin en le laissant aux poubelles je lisais avec délectation la rubrique “people”.
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