La luminosité écrasante de mes écrans quand le portail littéraire que j’entretiens entre mes circonvolutions, s’ouvre lentement, très lentement, crissant, rouillé, alors même que – grand rire sardonique des romanciers – il aurait du s’ouvrir durant les mois vides voilà qu’il
s’entrouvre
lorsqu’il ne faudrait absolument pas.
Je suis un péteur dans le silence de la messe
et ce n’est pas pour moi une surprise.
Laisser un commentaire