Sur la route du paradis
J’étends mes mains par les plaines
Je peux tout aimer
Quand je regarde les plaines
La voiture tremble doucement
La route est longue
Elle s’enfuit au-delà
Quand je crois à l’horizon
Je souris car je crois en tout
C’est possible d’espérer avec l’horizon
Et je m’étale encore plus loin
Là où on sait qu’il n’y a rien
D’autre que les rêves
Sur la route du paradis
La voiture roule lentement
J’espère avec la vie
Dans le lointain, dans l’infini
Je sais que tout est permis
L’idée de la route mince
Dans l’horizon, je souris
Immense car je le vois, je me poursuis.
Sur la route du paradis
Les plaines me redonnent envie.
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