… car le temps s’effaçait lentement devant nos caresses et l’infini se mettait à genoux devant nous, dans l’ère imaginaire où nous respirions ensemble, souverains du royaume qui n’avait pas besoin d’exister pour être.
… car le temps s’effaçait lentement devant nos caresses et l’infini se mettait à genoux devant nous, dans l’ère imaginaire où nous respirions ensemble, souverains du royaume qui n’avait pas besoin d’exister pour être.
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