Sous le ciel de Porto
Dans ta robe noire
Nul ne sait, nul n’a vu
Sous la falaise dans l’eau
Ton corps glissait près de moi
Nul ne sait, nul n’a vu
Nous on dansait dans la nuit
Nus sous les arbres des larmes
Nul ne sait, nul n’a vu
On s’embrassait contre des livres
Et on parlait tard sur une terrasse
Mais nul ne sait, nul n’a vu.
Nul ne sait, nul n’a vu
Comme tu me manques
L’automne souffle maintenant
Lentement ta main je ne la sens plus.
Nul ne sait, nul n’a vu.
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