Il n’y a aucun élan vers la paix, et tranquillement les pigeons chient, tandis que l’obsession de déréliction fait frémir mon échine au-dessus des corridors vides des journées. Aucune force particulière qui pousse ou qui tire dans l’objectif ou dans la cause, la vaste gamme de notes impossibles qui s’enchevêtrent pour la beauté du vent et l’illusion des sentiments. Et puis l’organique de s’alimenter pour excréter. Mais sans terreur particulière. Juste les pirouettes terriblement, horriblement, encoreblement plus, de l’échelle diatonique dans sa spirale de façon permanente dégoûtée par elle-même, gentiment s’affaissant, dans un mouvement qui n’a rien de spécial ni d’intéressant, sans doute que, tandis qu’elles.
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